Michel LEGATMerci, Jean-Paul, de m'avoir répondu. Et bonjour, d'abord ! Je ne me souviens plus de la tête de l'adjt Isaac, mais je reste persuadé que le "de cujus" (j'aime ce terme : "eh ! de cujus, toi-même , là !") est bien l'A/C Bastellica qui tenait d'une main de fer la 213 à laquelle j'appartenais. Malgré sa trogne à tout casser, il avait un cœur d'or. J'avais mon plum' dans un angle, au fond de la chambrée. Lors des revues, je virais bien sûr toutes les moumoutes mais dès que la porte s'ouvrait à son arrivée, toutes celles qui traînaient ici et là rappliquaient au grand galop sous mon lit. Si bien qu'arrivé à moi, l'A/C aboyait : "Legat, tu n'as pas encore balayé. " Je n'avais pas le temps de répliquer qu'il poursuivait : "Garde-à-vous". Et là : "Défends-toi" Tu parles !!!!. Et bing, un coup de poing dans la tronche. On ferait cela maintenant. (Suite en page suivante)
Michel LEGATJean-Paul (suite) : Mais avant de partir, il me disait : "Passe me voir au bureau". Il me savait grand lecteur/
Michel LEGAT.
Michel LEGAT : à Jean-Paul (suite) : Mais avant de partir, il me disait : "Passe me voir au bureau". Il me savait grand lecteur et là il me demandait si je connaissait tel ou tel auteur. C'est comme cela, par exemple qu'il m'a fait connaître Marcel Pagnol. On peur appeler cela : "RENTRE-TOI BIEN CELA DANS LE CRANE" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Ce sont ces rapports "affectueux" qui me font me rappeler de lui. Et sans rancune. Si tu retrouve quelque chose, recontacte-moi ! Je te souhaite une bonne journée.
Michel LEGAT Merci, Jean-Paul, de m'avoir répondu. Et bonjour, d'abord ! Je ne me souviens plus de la tête de l'adjt Isaac, mais je reste persuadé que le "de cujus" (j'aime ce terme : "eh ! de cujus, toi-même , là !") est bien l'A/C Bastellica qui tenait d'une main de fer la 213 à laquelle j'appartenais. Malgré sa trogne à tout casser, il avait un cœur d'or. J'avais mon plum' dans un angle, au fond de la chambrée. Lors des revues, je virais bien sûr toutes les moumoutes mais dès que la porte s'ouvrait à son arrivée, toutes celles qui traînaient ici et là rappliquaient au grand galop sous mon lit. Si bien qu'arrivé à moi, l'A/C aboyait : "Legat, tu n'as pas encore balayé. " Je n'avais pas le temps de répliquer qu'il poursuivait : "Garde-à-vous". Et là : "Défends-toi" Tu parles !!!!. Et bing, un coup de poing dans la tronche. On ferait cela maintenant. (Suite en page suivante)
Michel LEGAT Jean-Paul (suite) : Mais avant de partir, il me disait : "Passe me voir au bureau". Il me savait grand lecteur/
Michel LEGAT .
Michel LEGAT : à Jean-Paul (suite) : Mais avant de partir, il me disait : "Passe me voir au bureau". Il me savait grand lecteur et là il me demandait si je connaissait tel ou tel auteur. C'est comme cela, par exemple qu'il m'a fait connaître Marcel Pagnol. On peur appeler cela : "RENTRE-TOI BIEN CELA DANS LE CRANE" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Ce sont ces rapports "affectueux" qui me font me rappeler de lui. Et sans rancune. Si tu retrouve quelque chose, recontacte-moi ! Je te souhaite une bonne journée.