en revanche, ceux qui n'avaient connu que le feu devant la cheminée, et qui se croyaient pas tous, mais certains, tout permis. J'ai une anecdote à ce sujet, trop longue à expliquer ici.
la photo a du être prise par le MDL François De Larochette de Rochegonde
François BROUILLETEN 62-63, 1° ESCADRON, JE PENSE AVOIR RENCONTRE CET ADJ, LE MIEN SE NOMMAIT SIMONOT ET ETAIT ADJ-CHEF AU PELOTON 12, IL ARRIVAIT SUR SA MOTO DE SERVICE.
Le chef Cointrel, un type super, il crapahutait à pieds comme nous, je l'ai vu passer adjudant. On l'aurait suivi dans un trou de souris. Aux défilés, à chaque fois il faisait le coup, il mettait sa légion d'honneur dans sa poche, le capitaine Gentil venait le voir pour l'obliger de mettre sa médaille, que le capitaine saluait en rectifiant la position. Il en faisait un jeu, le pitaine n'avait pas la légion d'honneur, lui.
en revanche, ceux qui n'avaient connu que le feu devant la cheminée, et qui se croyaient pas tous, mais certains, tout permis. J'ai une anecdote à ce sujet, trop longue à expliquer ici.
la photo a du être prise par le MDL François De Larochette de Rochegonde
François BROUILLET EN 62-63, 1° ESCADRON, JE PENSE AVOIR RENCONTRE CET ADJ, LE MIEN SE NOMMAIT SIMONOT ET ETAIT ADJ-CHEF AU PELOTON 12, IL ARRIVAIT SUR SA MOTO DE SERVICE.
Le chef Cointrel, un type super, il crapahutait à pieds comme nous, je l'ai vu passer adjudant. On l'aurait suivi dans un trou de souris. Aux défilés, à chaque fois il faisait le coup, il mettait sa légion d'honneur dans sa poche, le capitaine Gentil venait le voir pour l'obliger de mettre sa médaille, que le capitaine saluait en rectifiant la position. Il en faisait un jeu, le pitaine n'avait pas la légion d'honneur, lui.