Catherine BOURJAULTtu as raison BENOIT, Anne je crois plutôt que %ichelle, sa soeur, Sylvie, est fleuriste à côté de l'ancienne boutique de ta maman, ton frère
Anne BOISSETEffectivement, Anne-Marie DUBOIS 2ème rang, tout à droite (j'avais oublié son nom). A ma droite, c'est Christiane Belaubre
Catherine BOURJAULTc'est vrai Christiane BELAUBRE, j'avais sa soeur en A avec moi, soeur jumelle, Chantal, elles étaient filles de gendarme à Pleaux, pensionnaire comme beaucoup àcette époque, dans ma classe de 33 élèves en terminale A2, on était 3 externes, 3 ou 4 demi-pensionnaires, tous ou toutes les autres étaient pensio, et faisaient avec, pas très gai l'internat à cette époque. Quand les jeunes de notre époque se plaignent... le lycée était vieillot et poussiéreux, et les dortoirs même par box de 2, ça n'était pas la joie, et ne rentraient pas tous les samedis à la maison, parfois une fois par mois, y compris au collège rue du collège où j'ai été de la 6ème à la 3ème, des élèves comme Sylvie Robert que tu as eu ensuite, qui venait de Mercoeur en Corrèze, ou une autre qui venait de St Cernin, ne rentrait qu'une fois par mois, et c'était dur de passer les weeks ends là, en internat, avec des pionnes, certaines avaient des "correspondantes" souvent de la famille sur Aurillac.
Catherine BOURJAULT tu as raison BENOIT, Anne je crois plutôt que %ichelle, sa soeur, Sylvie, est fleuriste à côté de l'ancienne boutique de ta maman, ton frère
Anne BOISSET Effectivement, Anne-Marie DUBOIS 2ème rang, tout à droite (j'avais oublié son nom). A ma droite, c'est Christiane Belaubre
Catherine BOURJAULT c'est vrai Christiane BELAUBRE, j'avais sa soeur en A avec moi, soeur jumelle, Chantal, elles étaient filles de gendarme à Pleaux, pensionnaire comme beaucoup àcette époque, dans ma classe de 33 élèves en terminale A2, on était 3 externes, 3 ou 4 demi-pensionnaires, tous ou toutes les autres étaient pensio, et faisaient avec, pas très gai l'internat à cette époque. Quand les jeunes de notre époque se plaignent... le lycée était vieillot et poussiéreux, et les dortoirs même par box de 2, ça n'était pas la joie, et ne rentraient pas tous les samedis à la maison, parfois une fois par mois, y compris au collège rue du collège où j'ai été de la 6ème à la 3ème, des élèves comme Sylvie Robert que tu as eu ensuite, qui venait de Mercoeur en Corrèze, ou une autre qui venait de St Cernin, ne rentrait qu'une fois par mois, et c'était dur de passer les weeks ends là, en internat, avec des pionnes, certaines avaient des "correspondantes" souvent de la famille sur Aurillac.