Jean-Marc VIGNAUXje viens de me rappeler que mon coin de lit, á l'étage, ètait Hahn, un para. Sur la photo, il est quatrième à partir de la droite, en haut. Il me semble le reconnaître, avec toutes les réserves dues au temps. Les chambres dès sections étaient à vingt. Comme l'effectif des sections était de 22 ou23, il y avait une chambre commune qui regroupait les "surplus " pour 2 mois, avec rotations. J'ai passé les 2 premiers mois dedans avant de rejoindre la chambre de section.
Jean-Marc VIGNAUXQuand je me relis, bof! Je voulais juste dire que j'étais arrivé le tout premier de la promo, accueilli en gare de très bon matin par l' Á/C Quintanne de l'infanterie, et adjudant de cie de la 2ème compagnie, je ne rappelle plus le nom du capitaine. Ma section, était commandé par le lt Monestier de l'infanterie alpine, son adjoint, un adjudant de l'infanterie métro, me rappelle plus le nom, c'étaient des cadors. D'ailleurs, à cette époque, les cadres n'étaient que des pointures. On n'avait qu'un souhait, leur ressembler! Je crois que nous étions la première section de cette compagnie. Les deux premiers mois m'ont parus très très durs, le temps de prendre le pli!! Quels souvenirs.
Jean-Marc VIGNAUX je viens de me rappeler que mon coin de lit, á l'étage, ètait Hahn, un para. Sur la photo, il est quatrième à partir de la droite, en haut. Il me semble le reconnaître, avec toutes les réserves dues au temps. Les chambres dès sections étaient à vingt. Comme l'effectif des sections était de 22 ou23, il y avait une chambre commune qui regroupait les "surplus " pour 2 mois, avec rotations. J'ai passé les 2 premiers mois dedans avant de rejoindre la chambre de section.
Jean-Marc VIGNAUX Ce n'est pas coin de lit, c'est voisin de lit !!
Jean-Marc VIGNAUX Quand je me relis, bof! Je voulais juste dire que j'étais arrivé le tout premier de la promo, accueilli en gare de très bon matin par l' Á/C Quintanne de l'infanterie, et adjudant de cie de la 2ème compagnie, je ne rappelle plus le nom du capitaine. Ma section, était commandé par le lt Monestier de l'infanterie alpine, son adjoint, un adjudant de l'infanterie métro, me rappelle plus le nom, c'étaient des cadors. D'ailleurs, à cette époque, les cadres n'étaient que des pointures. On n'avait qu'un souhait, leur ressembler! Je crois que nous étions la première section de cette compagnie. Les deux premiers mois m'ont parus très très durs, le temps de prendre le pli!! Quels souvenirs.