Odette LE PAJOLECle professeur est bien Madame Panetier. Elle faisait de l'humour avec le nom de famille de certains élèves :"le Mignon Petit Papillon est sur la Marguerite"
Jean-Louis DANAINJe me trouve au 3e rang, 1er à gauche. Je n'aimais guère Mme Panetier, très sévère ; je l'ai retrouvée en classe de 1ère, toujours aussi rigide, mais elle a fait une série de cours sur le XVIIIe dignes de l'université. Je m'en souviens encore auj. puisque j'exerce le même métier. Nous étions heureux et avions de bons professeurs. Qu'en est-il auj. (dit le vieil homme...)
Christine VAILLANTOui nous avons inauguré ce collège construit pour accueillir tous ceux qui arrivaient d'horizons si divers: une richesse exceptionnelle pour nous faire grandir. Nous avons commencé l'année scolaire de 6ème en retard et à l'école Louis Moreau de Massy Villaine, à l'autre bout de la ville, quand nous sommes arrivés au collège, il n'y avait q'une moitié de bâtiment, au bout du couloir un bache et derrière le vide du premier étage...une situation "inconcevable" aujourd'hui...(sourire).
Odette LE PAJOLEC le professeur est bien Madame Panetier. Elle faisait de l'humour avec le nom de famille de certains élèves :"le Mignon Petit Papillon est sur la Marguerite"
Jean-Louis DANAIN Je me trouve au 3e rang, 1er à gauche. Je n'aimais guère Mme Panetier, très sévère ; je l'ai retrouvée en classe de 1ère, toujours aussi rigide, mais elle a fait une série de cours sur le XVIIIe dignes de l'université. Je m'en souviens encore auj. puisque j'exerce le même métier. Nous étions heureux et avions de bons professeurs. Qu'en est-il auj. (dit le vieil homme...)
Christine VAILLANT Oui nous avons inauguré ce collège construit pour accueillir tous ceux qui arrivaient d'horizons si divers: une richesse exceptionnelle pour nous faire grandir. Nous avons commencé l'année scolaire de 6ème en retard et à l'école Louis Moreau de Massy Villaine, à l'autre bout de la ville, quand nous sommes arrivés au collège, il n'y avait q'une moitié de bâtiment, au bout du couloir un bache et derrière le vide du premier étage...une situation "inconcevable" aujourd'hui...(sourire).