1967 - Troisième dortoir - Lycée nationalisé mixte
(Ou 1958). Il s'agit des internes du "troisième dortoir", celui des petits de sixième et cinquième. Au centre, trône le terrible Godard, dit "pied d'alu" ou "pied d'al's". juge d'Enfer, qui contrôlait impitoyablement l'état de dessiccation des gants de toilette, la présence d'une cravate au col de chaque détenu, la propreté de ses chaussures. Tout contrevenant était sanctionné par une privation de sortie du dimanche.
Jean Pierre GLORIEUXle dernier à nommer (entre Pétriniak et D Boulier ) serait bien Guillaume dont j ai zappé le prénom
A confirmer ........
Fosse parisis avait un statut mixte , étant
qqfois interne pour raisons familiales.
François COLLARDMazette ! tu as bonne mémoire. Je m'étonnais déjà de me rappeler aussi bien cette époque - alors que je n'en ai pas de très bons souvenirs, mais toi, tu m'épates.
Pour Guillaume, je ne sais pas.
François COLLARDRevenant ici soixante mois plus tard (comment est-ce possible ? l'écoulement du temps est le sujet le plus banal et la cause d'inépuisables étonnements), je vois qu'au dernier rang il y a neuf personnages et seulement huit noms. Il fallait lire, pour le dernier rang : « Aron, J.-C. Boulier, Fleury, Laherte, Galimand, Cheffert, ?, Hellouin, Renault ». Et il faut prendre en compte la mémoire infaillible de J-P Glorieux pour le troisième rang et rectifier (je n'ai pas pu éditer l'ancien commentaire) : « Bonenfant, Peters, Pétriniak, Guillaume, Daniel Boulier, Baudette, Chéré, Moi, Songy, Piatti ». Il manque aussi un nom au deuxième rang, mais comme je ne me rappelle ni Gamahut ni Lecourt, je ne sais pas le localiser. J'ai été si malheureux dans cet internat qu'on doit plutôt s'étonner que j'en aie des souvenirs encore si précis. Pour convaincre mes parents de m'en libérer enfin, j'ai été obligé de redoubler ma troisième...
Jean Pierre GLORIEUX le dernier à nommer (entre Pétriniak et D Boulier ) serait bien Guillaume dont j ai zappé le prénom
A confirmer ........
Fosse parisis avait un statut mixte , étant
qqfois interne pour raisons familiales.
François COLLARD Mazette ! tu as bonne mémoire. Je m'étonnais déjà de me rappeler aussi bien cette époque - alors que je n'en ai pas de très bons souvenirs, mais toi, tu m'épates.
Pour Guillaume, je ne sais pas.
François COLLARD Revenant ici soixante mois plus tard (comment est-ce possible ? l'écoulement du temps est le sujet le plus banal et la cause d'inépuisables étonnements), je vois qu'au dernier rang il y a neuf personnages et seulement huit noms. Il fallait lire, pour le dernier rang : « Aron, J.-C. Boulier, Fleury, Laherte, Galimand, Cheffert, ?, Hellouin, Renault ». Et il faut prendre en compte la mémoire infaillible de J-P Glorieux pour le troisième rang et rectifier (je n'ai pas pu éditer l'ancien commentaire) : « Bonenfant, Peters, Pétriniak, Guillaume, Daniel Boulier, Baudette, Chéré, Moi, Songy, Piatti ». Il manque aussi un nom au deuxième rang, mais comme je ne me rappelle ni Gamahut ni Lecourt, je ne sais pas le localiser. J'ai été si malheureux dans cet internat qu'on doit plutôt s'étonner que j'en aie des souvenirs encore si précis. Pour convaincre mes parents de m'en libérer enfin, j'ai été obligé de redoubler ma troisième...