Café des Copains

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  • Michel BOISJOLY (BOISJOLY) a publié Chauds les marrons, chauds

    Ce n'est pas la saison ,mais il y a bien 10 ou 15 ans que je n'en ai pas vu . Le dernier à la sortie du métro , un Sri lanquais qui ne savaient pas bien les cuire . Les marchandes de violettes et les marchandes d'oublies ainsi que les marchandes de quatre-saisons . La roue tourne ,tout est à l'hypermarché et la livraison à domicile .

    • Rosie DAMIENS (SACREZ) Au moment de noël ,il y en a toujours à ST Quentin .
      Je connais des personnes qui ne savent plus se déplacer (dont une que vous connaissez )et qui sont bien contentes d'avoir les livraisons à domicile

    • André DUPONT (ROUTIER) Je me souviens de ça en France et je me demandais si ça existait encore. Encore une chose qui n'existe pas ailleurs.

    • Michel BOISJOLY (BOISJOLY) Tous ces petits métiers ont disparu .Les ramoneurs ,vitriers ambulants ,les rémouleurs et bien d'autres .Pour les livraisons à domicile ,d'accord, mais 98% n'est pas handicapée .

    • Claire BOUVET chez nous, les marrons chauds se font toujours, ça réchauffe, ça sent bon, mais qui a connu la pomme de terre chaude pour se réchauffer les mains,sans oublier la buche pour la salle de classe de classe

    • Rosie DAMIENS (SACREZ) À utiliser aussi en cataplasme ,le cataplasme de pomme de terre chaud soulage les douleurs tenaces de larthrose et détend les tensions musculaires, notamment du dos.

    • Michel BOISJOLY (BOISJOLY) Il s'agissait de la disparition des petits métiers d'autrefois .

    • André DUPONT (ROUTIER) Il faut bien nettoyer les cheminées et donc le ramoneur est indispensable, comment faire autrement. Pour l'affutage des lames, j'ai différentes pierres à huile et en cas de besoin, Google est là.

    • Annie COLIN Claire,
      Je me souviens bien des châtaignes que ma mère
      faisait cuire sur la cuisinère dans une poêle trouée :
      la maison embaumait, et nous étions si pressés
      de les déguster !
      Je me souviens aussi que quand j'étais petite, en hiver
      par temps froid, ma grand-mère faisait bouillir
      des châtaignes qu'elle me mettait toutes chaudes
      dans les poches de mon manteau pour que je puisse
      me réchauffer les mains.

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