• Michel BOISJOLY (BOISJOLY) a publié La marche sur rome

    102 ans après rien à changé ,les médiocres ressortent leur haine . les fascistes sont toujours en embuscade .

    • Jacques OUILLE mdr, Michel.

      Après qui en avez vous donc ainsi ?

      Ce sont les sondages de la majorité présidentielle, qui vous mettent dans cet état ?

    • Henri ARDINGHI- PEREZ Michel en veut aux Italiens : LOL !!

      Mon Père Italien a fui le fascisme italien pour venir combattre l'espagnol de Franco ; puis l'allemand en France dans les Maquis de Haute Ariège et celui de Pétain

      Que je vous explique du renouveau de ce ''Rinascimento ''

      À la fin du premier confinement en Italie, au printemps 2020, une enquête a montré que plus de cinq Italiens sur dix estimaient que la solution aux problèmes du pays devait être confiée à un ''homme fort ''.

      Une figure capable de dominer la scène et de faire, dans la solitude, le bien de tous.

      Au lieu de profiter des joies de la liberté retrouvée après la plus longue période de restrictions depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, une proportion substantielle des personnes interrogées se sont déclarées ouvertes à la possibilité que le système actuel de garanties démocratiques puisse être remplacé par un seul responsable.
      Un dictateur, oui, mais un '' bon dictateur '' LOL !!!!

    • Michel BOISJOLY (BOISJOLY) Hélas Henri , un "bon dictateur" ,ça pourrait prêter à rire si ce n'était aussi grave . Je félicite sans retenue vos grand père et père qui ont eu ce courage de combattre ces régimes . Vous-même militaire français .

    • Henri ARDINGHI- PEREZ Une contradiction dans les termes qui a permis, par exemple, à l'extrême droite, dans la confusion générale, de prendre le contrôle de certaines manifestations contre la politique sanitaire du gouvernement au cri de ''Non à la dictature !

      Fascistes contre dictature : un beau saut sémantique, il n'y a aucun doute là-dessus
      En réalité, c'est un scénario que nous avons déjà vu.
      En 1919, le mouvement dirigé par Mussolini parlait de lutte et de révolution.
      Sauf alors, une fois au pouvoir, pour incarner le parti de l'ordre.

      Il semblerait qu'il s'agisse d'un éternel retour des thèmes que le mot fascisme apporte avec lui, s'il n'y avait pas le fait assez triste qu'il ne s'agit pas d'un retour.
      Le mot'' fascisme '' avec ses significations multiples, contradictoires, toujours problématiques, n'a jamais disparu.

    • Jacques OUILLE J' avais compris que Michel faisait allusion à l' Italie et au parti de Melloni.

      Mais comme il aime taquiner, je le deviens aussi.

      Opposer une époque passée à l' époque présente, ne me fascine pas pour la raison que les enjeux ne sont pas les mêmes.

    • Michel BOISJOLY (BOISJOLY) Vous avez raison Jacques ,les enjeux sont bien pires .

    • Michel BOISJOLY (BOISJOLY) Interviewée, la jeune militante expliquait en français son admiration pour le dictateur Benito Mussolini, au pouvoir entre 1922 et 1943 : « Je crois que Mussolini était un bon politicien. Cest-à-dire que tout ce quil a fait, il la fait pour lItalie. Et on ne retrouve pas ça chez les politiciens quon a eus au cours des 50 ans dernières années. »

    • Jacques OUILLE Pires, je ne crois pas Michel.

      Les européennes traitent de la politique nationale.

      Quel bilan, le gouvernement a t' il a présenter ?

    • Jacques OUILLE Et puisque le terme " Dictature ", semble être à la mode pour certains.

      Que penser des journalistes, des enseignants, des nombreux cas de sociétés ( car cela ne relève plus de faits divers ), ou la liberté de parole et d' action, deviennent interdites au risque de mettre leur vie en danger.

    • Henri ARDINGHI- PEREZ Le fascisme aujourd'hui n'est pas un gros mot.

      Ou plutôt, ce n'est pas un mot aussi mauvais que l'histoire de vingt ans de dictature et de violence pourrait le suggérer.

      Contrairement aux régimes totalitaires homologues nés dans la première moitié du XXe siècle en Europe, le fascisme italien bénéficie d'une lecture édulcorée et souvent absolutiste.

       Bref, le fascisme, bien qu'il ait une mauvaise histoire, jouit d'une bonne mémoire.

      Si bien qu'en Italie, ceux qui l'invoquent ouvertement non seulement ne vont pas en prison, mais risquent aussi de faire carrière politiquement.

      Au-delà des débordements médiatiques sur l'opportunité d'un retour au fascisme, une classe politique de plus en plus en quête de sensationnalisme continue d'utiliser avec aisance les questions liées à la dictature pour mener à bien une opération particulièrement risquée :

      la confrontation sémantique avec le présent démocratique .

    • Henri ARDINGHI- PEREZ En analysant le terme fascisme, ses usages et sa diffusion, il est possible de vérifier l'état de santé du mot qui est à l'opposé, à savoir..... la Démocratie.

    • Henri ARDINGHI- PEREZ Il n'y a pas qu'en Italie !!!!!
       Perpignan la rayonnante relève la tête !!!!!

      En cette date symbolique du 1er mai, transformé en meeting de campagne à Perpignan par Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement national pour les élections européennes,
      La cheffe de file du parti Marine Le Pen et le numéro 2 Louis Aliot, maire de Perpignan, sont venus en soutien du candidat.
      Surfant sur la ferveur de la foule des sympathisants.