Une classe très féminine : la littérature intéressait déjà moins les garçons. Nous semblons tous très sages. La blouse était encore obligatoire, mai 68 attendait son heure...
Cette année fut déterminante pour ma profession future, sous la houlette de M. Bouvet dont la grande culture et la rigueur m'impressionnèrent.
Marie-Claude DERZYPOLSKI (FONDEUR)Exact, Noelle, c'est bien Michel Jamain et j'ai l'impression qu'il ne souffrait pas de la solitude, il était à l'aise au milieu de nous toutes. Il faut dire aussi qu'on n'était pas méchantes. D'ailleurs, il adopte sur la photo une "pose" très satisfaite, au centre géographique de cette assemblée féminine. Si tu me lis un jour, Michel, amical souvenir!
Marie-José WELTERD'après mes souvenirs... Rang du bas : en premier en partant de la gauche, Odile Douard et, en quatrième, Chantal Payet (ou Paillet, je ne sais plus). Rang du haut : en troisième en partant de la gauche, Marie-France Gibeaux et, quatrième, Christine Guertsch.
Marie-Claude DERZYPOLSKI (FONDEUR) Exact, Noelle, c'est bien Michel Jamain et j'ai l'impression qu'il ne souffrait pas de la solitude, il était à l'aise au milieu de nous toutes. Il faut dire aussi qu'on n'était pas méchantes. D'ailleurs, il adopte sur la photo une "pose" très satisfaite, au centre géographique de cette assemblée féminine. Si tu me lis un jour, Michel, amical souvenir!
Suzanne TEISSIER (VINCENT) Je te reconnais! Cette année là, déjà loin de la 1ère, je me mariais!
Marie-José WELTER D'après mes souvenirs... Rang du bas : en premier en partant de la gauche, Odile Douard et, en quatrième, Chantal Payet (ou Paillet, je ne sais plus). Rang du haut : en troisième en partant de la gauche, Marie-France Gibeaux et, quatrième, Christine Guertsch.