Joachim FERNANDEZJe n'ai pas de bons souvenirs de l'école Aujard, seulement de la nostalgie du temps passé. L'instituteur, M. Brézy, je crois, n'arrêtait pas de se moucher, et me filait des baffes à tout va. La rangée du milieu, au premier rang, les 2 garçons sont morts dans une accident de moto, Fourcault et Delavant. Dans cette classe, y avait les bons élèves, calmes et studieux, et ceux qui jouaient les gros bras. J'étais le seul petit espagnol de la classe, alors j'étais un peu le souffre douleur de certains à la récré, plus fort que moi. Je n'était pas bagarreur à cette époque, et, par nécessité, je suis devenu violent par la suite. Quand je suis devenu grand et fort, j'ai inversé les rôles avec ces lâches. En 4 ans à Aujard, j'en ai pris des baffes par les instituteurs. Je me souviens aussi de l'humiliation que ces derniers flanquaient aux élèves qui rendaient une copie pas nette. Ils tournaient dans la cour, le long de la lignée des arbres, le cahier épinglé dans le dos.
Joachim FERNANDEZ Je n'ai pas de bons souvenirs de l'école Aujard, seulement de la nostalgie du temps passé. L'instituteur, M. Brézy, je crois, n'arrêtait pas de se moucher, et me filait des baffes à tout va. La rangée du milieu, au premier rang, les 2 garçons sont morts dans une accident de moto, Fourcault et Delavant. Dans cette classe, y avait les bons élèves, calmes et studieux, et ceux qui jouaient les gros bras. J'étais le seul petit espagnol de la classe, alors j'étais un peu le souffre douleur de certains à la récré, plus fort que moi. Je n'était pas bagarreur à cette époque, et, par nécessité, je suis devenu violent par la suite. Quand je suis devenu grand et fort, j'ai inversé les rôles avec ces lâches. En 4 ans à Aujard, j'en ai pris des baffes par les instituteurs. Je me souviens aussi de l'humiliation que ces derniers flanquaient aux élèves qui rendaient une copie pas nette. Ils tournaient dans la cour, le long de la lignée des arbres, le cahier épinglé dans le dos.