Nicole FOURQUEZet......Madame Noguès, directrice du collège/pensionnat de filles , et gd mère d'Emmanuel Macron
L'internat de Poix de Picardie, son pot de chambre collectif, on allait le vider le matin ds "les toilettes à la turque" de la cour de récréation, et puis .....un nombre incalculable de lits ds le dortoir, les jeudis à briquer le parquet, et puis, la cantine
aussi, on lavait notre propre couvert ds une bassine qui passait de table en table, on faisait la vaisselle des assiettes et verres ds une eau pas très propre, on l'essuyait avec des torchons (perso, les torchons) qui sentaient mauvais, le matin, on déjeunait avec le beurre (apporté de la maison) qui sentait le rance en fin de semaine, .......(pas de frigo)
on passait nos heures d'internat à se ranger, ds l'attente du silence total, dehors, par tous les temps, le moindre bruit au réfectoire nous ramenait ds la cour, où nous attendions le retour du silence. La soupe s'avalait alors froide....
mais où nous lavions nous les mains ???
sans oublier que nous nous lavions une seule fois, le matin pour les GRANDES (4ème/3ème) et le soir pour les PETITES (6ème/5ème).... les promenades le jeudi après-midi dans la campagne environnante lorsqu'il faisait beau !
Nicole FOURQUEZLes grandes dormaient sous les toits, ds des "chambres mansardées". Les petites ds le gd dortoir du premier étage. C'est à peine si on pouvait se mouvoir entre les lits. Il y en avait même ds le couloir. Autre souvenir épouvantable, les serviettes périodiques interdites, il fallait utiliser des serviettes en tissu. On se changeait à l'étage, ds le cagibi où les valises étaient stockées. avec les boites "à goûter" Encore un souvenir: le jeudi soir, pas de cantinière, au menu: des tartines (pain sec) avec un bol de chocolat...
Nicole FOURQUEZ et......Madame Noguès, directrice du collège/pensionnat de filles , et gd mère d'Emmanuel Macron
L'internat de Poix de Picardie, son pot de chambre collectif, on allait le vider le matin ds "les toilettes à la turque" de la cour de récréation, et puis .....un nombre incalculable de lits ds le dortoir, les jeudis à briquer le parquet, et puis, la cantine
aussi, on lavait notre propre couvert ds une bassine qui passait de table en table, on faisait la vaisselle des assiettes et verres ds une eau pas très propre, on l'essuyait avec des torchons (perso, les torchons) qui sentaient mauvais, le matin, on déjeunait avec le beurre (apporté de la maison) qui sentait le rance en fin de semaine, .......(pas de frigo)
on passait nos heures d'internat à se ranger, ds l'attente du silence total, dehors, par tous les temps, le moindre bruit au réfectoire nous ramenait ds la cour, où nous attendions le retour du silence. La soupe s'avalait alors froide....
mais où nous lavions nous les mains ???
sans oublier que nous nous lavions une seule fois, le matin pour les GRANDES (4ème/3ème) et le soir pour les PETITES (6ème/5ème).... les promenades le jeudi après-midi dans la campagne environnante lorsqu'il faisait beau !
Nicole FOURQUEZ Les grandes dormaient sous les toits, ds des "chambres mansardées". Les petites ds le gd dortoir du premier étage. C'est à peine si on pouvait se mouvoir entre les lits. Il y en avait même ds le couloir. Autre souvenir épouvantable, les serviettes périodiques interdites, il fallait utiliser des serviettes en tissu. On se changeait à l'étage, ds le cagibi où les valises étaient stockées. avec les boites "à goûter" Encore un souvenir: le jeudi soir, pas de cantinière, au menu: des tartines (pain sec) avec un bol de chocolat...