Alain LEGERLES DATES SONT UN PEU FLOUES DANS MON ESPRIT MAIS ASSUREMENT Melle MATHIEU A ETE MA PREMIERE MAITRESSE D'ECOLE ET M'A SANS DOUTE INCULQUE LES RUDIMENTS DE LA LECTURE ET DE L'ECRITURE SOUVENIRS SOUVENIRS
Bernard DE BOUTEILLER. Je me souvient qu'avec deux camarades pensionnaire nous avions fait le mur un soir. Qu'elle ne fut pas notre surprise, devant la porte du collège stationnait un car de police. Nous avons attendus qu'il parte pour nous glisser à nouveau dans notre lit. Nous étions pas encore déshabillés, que la lumière du dortoir s'allume, nous sautons tout habillé dans notre lit, alors que melle mathieu prononce nos noms de sa voix forte. On s'était fait piqué malheureusement par la faute d'autres pensionnaires qui avaient fait aussi le mur le soir même et avaient déchirés des affiches électoral, les flics les avaient suivis jusqu'au collège, mais eux avaient eu la chance de regagner leur lit sans se faire prendre. La police avait réveillé la surveillante générale qui a constaté notre absence et nous attendait de pied ferme. Résultat : trois jours de renvois. Je ne vous dis pas l'accueille que j'ai eu droit par ma mère... 1962.
Christian LASCOMBES DE LAROUSSILHEmlle mathieu surveillante general qui terorisais les eleves et en punition nous faisais faire la marche petit canard
Alain LEGER LES DATES SONT UN PEU FLOUES DANS MON ESPRIT MAIS ASSUREMENT Melle MATHIEU A ETE MA PREMIERE MAITRESSE D'ECOLE ET M'A SANS DOUTE INCULQUE LES RUDIMENTS DE LA LECTURE ET DE L'ECRITURE SOUVENIRS SOUVENIRS
Bernard DE BOUTEILLER . Je me souvient qu'avec deux camarades pensionnaire nous avions fait le mur un soir. Qu'elle ne fut pas notre surprise, devant la porte du collège stationnait un car de police. Nous avons attendus qu'il parte pour nous glisser à nouveau dans notre lit. Nous étions pas encore déshabillés, que la lumière du dortoir s'allume, nous sautons tout habillé dans notre lit, alors que melle mathieu prononce nos noms de sa voix forte. On s'était fait piqué malheureusement par la faute d'autres pensionnaires qui avaient fait aussi le mur le soir même et avaient déchirés des affiches électoral, les flics les avaient suivis jusqu'au collège, mais eux avaient eu la chance de regagner leur lit sans se faire prendre. La police avait réveillé la surveillante générale qui a constaté notre absence et nous attendait de pied ferme. Résultat : trois jours de renvois. Je ne vous dis pas l'accueille que j'ai eu droit par ma mère... 1962.
Christian LASCOMBES DE LAROUSSILHE mlle mathieu surveillante general qui terorisais les eleves et en punition nous faisais faire la marche petit canard