Claude MAERTENEn 2014 j écrivais à Christian Viaud, président des anciens élève à l époque, et comme moi, vieux St Elmois : "Te souviens-tu, toi qui est resté dans la discipline, à quelle époque Jean Mandeix nous a enseigné le judo au collège ? Je me souviens encore que c était dans le bâtiment désaffecté au 1er étage, que le tatami était une toile bleue tendue par des sandorfs sur un cadre en bois contenant de la sciure. Les prises étaient nommées en français : 1er de jambe, de hanche, d épaule, immobilisations, étranglements, sauf le sutémi . A l époque j avais atteint la ceinture verte. J en ai un bon souvenir, et pour l anecdote, en 1980 soit une paire d années plus tard, j ai remis les pieds sur un tatami au Club Med. Je m étais bien débrouillé mais je m y étais fêlé une cote...
Preuve que l enseignement de Jean Mandeix était de qualité, je suis encore capable (+ de 50ans plus tard et souffle mis à part) de porter un bon nombre de prises ".
Claude MAERTEN En 2014 j écrivais à Christian Viaud, président des anciens élève à l époque, et comme moi, vieux St Elmois : "Te souviens-tu, toi qui est resté dans la discipline, à quelle époque Jean Mandeix nous a enseigné le judo au collège ? Je me souviens encore que c était dans le bâtiment désaffecté au 1er étage, que le tatami était une toile bleue tendue par des sandorfs sur un cadre en bois contenant de la sciure. Les prises étaient nommées en français : 1er de jambe, de hanche, d épaule, immobilisations, étranglements, sauf le sutémi . A l époque j avais atteint la ceinture verte. J en ai un bon souvenir, et pour l anecdote, en 1980 soit une paire d années plus tard, j ai remis les pieds sur un tatami au Club Med. Je m étais bien débrouillé mais je m y étais fêlé une cote...
Preuve que l enseignement de Jean Mandeix était de qualité, je suis encore capable (+ de 50ans plus tard et souffle mis à part) de porter un bon nombre de prises ".