Josette BESSON (COURTET)Je me souviens de Madame Martorella, comme d'une Maîtresse très humaine.
Un jour que nous faisions une dictée, et comme j'étais très mauvaise en orthographe (il y a encore des séquelles) Madame Martorella s'arrête a coté de moi, se penche sur mon cahier, et attérer répète le mot "nécessaire" . Je lève la tête, elle fait non de la tête, je rature, le ré- écrit. Elle fait non , répète le mot, je re-re- rature, le ré écrit. toujours non de la tête. A près trois essais, Elle pousse un long soupir, lève les yeux au ciel, et poursuit son chemin. Mon cahier est couvert de ratures, le mot est toujours faux. Depuis , à chaque fois que j'écris nécessaire , je pense à Madame Martorella.
Josette BESSON (COURTET) Je me souviens de Madame Martorella, comme d'une Maîtresse très humaine.
Un jour que nous faisions une dictée, et comme j'étais très mauvaise en orthographe (il y a encore des séquelles) Madame Martorella s'arrête a coté de moi, se penche sur mon cahier, et attérer répète le mot "nécessaire" . Je lève la tête, elle fait non de la tête, je rature, le ré- écrit. Elle fait non , répète le mot, je re-re- rature, le ré écrit. toujours non de la tête. A près trois essais, Elle pousse un long soupir, lève les yeux au ciel, et poursuit son chemin. Mon cahier est couvert de ratures, le mot est toujours faux. Depuis , à chaque fois que j'écris nécessaire , je pense à Madame Martorella.