Georges VINAVERj'ai eu Dimon en seconde, vers 64. Accent rocailleux, tout en rondeur. Il faisait aimer le français. Il prenait un malin plaisir à rétablir le vrai texte (chez Villon ou Rabelais) que, par pudibonderie, messieurs Lagarde et Michard censuraient...
Georges VINAVER j'ai eu Dimon en seconde, vers 64. Accent rocailleux, tout en rondeur. Il faisait aimer le français. Il prenait un malin plaisir à rétablir le vrai texte (chez Villon ou Rabelais) que, par pudibonderie, messieurs Lagarde et Michard censuraient...