Philippe SAULIBonjour Madame, utour de l'année 1970, Anfa 2, Casablanca, la cité est en émoi car une superbe fille vient d'arriver, tout le monde veut la voir : c'est vous ! On sympathise, se retrouve tous autour du bac à sable et faisons un petit jeu de questions... Arrive votre tour de poser une question et, moment complètement inattendu, elle est pour moi ! Je crois que de toute ma vie, je n'ai pas eu plus grande fierté que la Miss s'adresse à moi; il y a 50 ans et j'en ai encore le souvenir ému !! Ma famille est partie pas longtemps après de Casa et en passant la barrière de la résidence, j'ai eu cette pensée triste : je ne reverrai plus Corinne
Philippe SAULIDésolé, j'ai lancé le commentaire par maladresse, avant de le finir... C'est "Autour de l'année 1970"... Je ne vous dis pas le pincement au cœur que j'ai eu en quittant Anfa : c'est simple, je ne me souviens que de vous qui n'étiez pas dans le cercle d'amis de mes parents ! Vous avez été le premier émoi de ma vie, pour celle qu'on n'oublie jamais, et je vous retrouve par hasard, de fil en aiguille, c'est agréable, émouvant et inespéré. Ce courrier n'a aucun sens ni objectif, juste le plaisir de vous dire que j'ai sans doute été votre premier admirateur et je suis un romantique qui n'oublie pas ses rares passions... Probablement ne suis-je rien dans votre mémoire mais ce n'est pas grave, vous êtes restée dans la mienne et le savez maintenant. Cordialement. Philippe.
Philippe SAULI Bonjour Madame, utour de l'année 1970, Anfa 2, Casablanca, la cité est en émoi car une superbe fille vient d'arriver, tout le monde veut la voir : c'est vous ! On sympathise, se retrouve tous autour du bac à sable et faisons un petit jeu de questions... Arrive votre tour de poser une question et, moment complètement inattendu, elle est pour moi ! Je crois que de toute ma vie, je n'ai pas eu plus grande fierté que la Miss s'adresse à moi; il y a 50 ans et j'en ai encore le souvenir ému !! Ma famille est partie pas longtemps après de Casa et en passant la barrière de la résidence, j'ai eu cette pensée triste : je ne reverrai plus Corinne
Philippe SAULI Désolé, j'ai lancé le commentaire par maladresse, avant de le finir... C'est "Autour de l'année 1970"... Je ne vous dis pas le pincement au cœur que j'ai eu en quittant Anfa : c'est simple, je ne me souviens que de vous qui n'étiez pas dans le cercle d'amis de mes parents ! Vous avez été le premier émoi de ma vie, pour celle qu'on n'oublie jamais, et je vous retrouve par hasard, de fil en aiguille, c'est agréable, émouvant et inespéré. Ce courrier n'a aucun sens ni objectif, juste le plaisir de vous dire que j'ai sans doute été votre premier admirateur et je suis un romantique qui n'oublie pas ses rares passions... Probablement ne suis-je rien dans votre mémoire mais ce n'est pas grave, vous êtes restée dans la mienne et le savez maintenant. Cordialement. Philippe.