Dany William BRAILLONOpérateur radar à la passerelle, je garde un souvenir excéllent de mes dix mois sur cette unité.
J'ai servi sous le commandement des "Pachas" VIRIOT & MANDINE.
Anecdotes et souvenirs sont vivaces!
Cordialement à tous ceux qui se retrouverone et à disposition
D. William BRAILLON
Didier LE DEVEDECle meilleur souvenir de cette époque,quand le pacha la veille de ma quille a souhaite que je téléphone à la marine nationale à paris de sa part afin d'embarquer en touriste à bord d'un dragueur de mines .le plus mauvais souvenir ,c'était de ne pas avoir eu le droit de me defendre lorsqu'un copain me tapait dessus,aprés avoir bu la nuit en ville .j'avais le visage en sang .seulement à cette condition ,je pouvais prétendre à ma semaine de bon soldat.on voulait que je m'engage .je trouve la marine un peu mazo sur le bord .enfin il y a prescription depuis.
" Cafard de passerelle" de aout 71 à juillet 72, surnommé à raison le parisien. Quelques souvenir de Montélimar, Le Bouris, Béru, mais.... tellement lointains. Et à l'époque, mon nom de famille n'était encore que Martin, Martin-Catherin est venu plus tard, mais c'est une autre histoire...
Dany William BRAILLON Opérateur radar à la passerelle, je garde un souvenir excéllent de mes dix mois sur cette unité.
J'ai servi sous le commandement des "Pachas" VIRIOT & MANDINE.
Anecdotes et souvenirs sont vivaces!
Cordialement à tous ceux qui se retrouverone et à disposition
D. William BRAILLON
Didier LE DEVEDEC le meilleur souvenir de cette époque,quand le pacha la veille de ma quille a souhaite que je téléphone à la marine nationale à paris de sa part afin d'embarquer en touriste à bord d'un dragueur de mines .le plus mauvais souvenir ,c'était de ne pas avoir eu le droit de me defendre lorsqu'un copain me tapait dessus,aprés avoir bu la nuit en ville .j'avais le visage en sang .seulement à cette condition ,je pouvais prétendre à ma semaine de bon soldat.on voulait que je m'engage .je trouve la marine un peu mazo sur le bord .enfin il y a prescription depuis.
" Cafard de passerelle" de aout 71 à juillet 72, surnommé à raison le parisien. Quelques souvenir de Montélimar, Le Bouris, Béru, mais.... tellement lointains. Et à l'époque, mon nom de famille n'était encore que Martin, Martin-Catherin est venu plus tard, mais c'est une autre histoire...