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Commentaires

  • Philippe GENEVÉE Bonjour,il est vrais que nos souvenirs de jeunesse sont plus ou moins marqué par des événements déclencheurs et l'école communale,l'école en générale n'a pas eu cet effet sur moi.Nous étions encore avec lentrée coté garçon et celui coté fille avec un grand mur de séparation au milieu de la court.Il me semble, d'après mes souvenirs,je me maintenais dans une fourchette de classement entre la 25em place et le célèbre dernier de cette fratrie improvisé.Si vous le désirez,en affichant mon profil,vous aurez une idée de ce qu'est devenu un petit garçon plutôt laxiste,n'aimant pas faire de vague,pas très intéressé par l'école,mais qui involontairement en à sûrement retenu un certain pourcentage.Je suis Philipe Genevée,3em rang en partant du haut de la photo,3em élève en partant de la droite,cela va sûrement vous décevoir,mais je n'ai aucun souvenir de mes maîtres d'école durant la période communale.Je vous souhaite un bon dimanche,et je suppose une retraite bien mérité.

  • Alain BOURDIER Bonjour Philippe - Je me souviens bien de toi même si le temps a longuement passé. C'est vrai que tu me semblais détaché mais tu étais gentil et sage. Au travers de ce que tu écris, il semble que tu n'as pas changé. Si cela peut te tranquilliser, moi non plus je ne me souviens pas de mes instits du primaire. Je suis effectivement à la retraite depuis 7 ans. Bien méritée, je n'en sais rien mais en tout cas, j'essaie d'en profiter au mieux. Pour cela, il faut préserver sa santé et c'est le souhait sincère que je forme pour toi

  • Philippe GENEVÉE Bonsoir,difficile de mettre après monsieur,ceci n'est pas tout à fait dans mes habitudes,le tutoiement me parait déplacé,j'ai donc opté pour un bonsoir et le vouvoiement par respect.Je suis étonnamment réjouis que vous souveniez de ma petite personne car des élèves,à 35 par classes, vous avez du en croiser un certain nombre.Sur la photo que vous avez publiez combien vous on contactez?Sachez que ma maladie n'a nullement nui à mon moral et que c'est d'abord une expérience et une expérience sans tabou et dont je parle ouvertement,c'est même peut être ma façon perso de la dépasser,j'irais même jusqu'à dire que cela me fait un bien moral tant qu'il y à de la curiosité sans préjugés mais si je ressent de la compassion ou de la pitié,cela me met hors de moi,voir même agressif envers cette vision de la maladie.vous savez quand vous êtes en traitement de chimio à lhôpital,les infirmières qui n'ont pas toujours le moral de soigner ce genre de pathologies,sont souvent

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