Quarante deux élèves et personne ne rechignait : des parents, des élèves et des professeurs respectés.
Tout le monde travaillait en silence ; peu de punitions sévères pour nous tenir. Quelle époque où nous respections les anciens et les structures.
Bernard BONNEFONTTout à fait d'accord sur ton commentaire. Ce qui nous tenait aussi, c'était nos parents. Si l'on avait fait des bétises, il valait mieux rien dire à la maison.
Je ne suis pas sur la photo de cette classe, mais j'en connais pas mal dessus
Michel STRAVRIDISSTRAVRIDIS MICHEL Je suis derriere REVEL BERNARD celui qui a le numéro de la photo devant lui; je suis plus que d accord avec les deux commentaires .je pense que c etait la classe de mme FROUSTEY .ce sont les instituteurs qui ont peur des élèves maintenant ;c etait l epoque de l apres guerre ;je reconnais pas mal d eleves et je suis sur la photo
Quarante deux élèves et personne ne rechignait : des parents, des élèves et des professeurs respectés.
Tout le monde travaillait en silence ; peu de punitions sévères pour nous tenir. Quelle époque où nous respections les anciens et les structures.
Bernard BONNEFONT Tout à fait d'accord sur ton commentaire. Ce qui nous tenait aussi, c'était nos parents. Si l'on avait fait des bétises, il valait mieux rien dire à la maison.
Je ne suis pas sur la photo de cette classe, mais j'en connais pas mal dessus
Michel STRAVRIDIS STRAVRIDIS MICHEL Je suis derriere REVEL BERNARD celui qui a le numéro de la photo devant lui; je suis plus que d accord avec les deux commentaires .je pense que c etait la classe de mme FROUSTEY .ce sont les instituteurs qui ont peur des élèves maintenant ;c etait l epoque de l apres guerre ;je reconnais pas mal d eleves et je suis sur la photo