Christophe STAMAIl y avait mon copain paolo castellani, dans cette classe de cm2. Arrivé à vincennes après les vacances de noël, j'étais le "nouveau". Certaines personnes ne m'aimaient pas, à commencer par l'institutrice qui s'est comportée vis-à-vis de moi comme une grosse facho.
Christophe STAMAA la cantine, quand il y avait des salsifis, la maîtresse collait des beignes à ce garçon au pull bleu dont, hélas, je ne me rappelle pas le prénom. Elle lui collait des claques dans la tête à chaque fois qu'il avait un haut-le-coeur. Ca me révoltait mais je n'osais rien dire de peur que que je ne devienne le nouveau souffre-douleur de service.
Christophe STAMAJ'avais beau avoir un coeur d'artichaut, aucune des filles de ma classe ne me faisait rêver. Désolé, Mesdames ! En revanche, j'étais tombé fou amoureux de la jeune institutrice qui nous gardait, le soir, à l'étude. C'était une très belle jeune femme aux longs cheveux noirs. Je ne l'oublierai jamais.
Christophe STAMA Il y avait mon copain paolo castellani, dans cette classe de cm2. Arrivé à vincennes après les vacances de noël, j'étais le "nouveau". Certaines personnes ne m'aimaient pas, à commencer par l'institutrice qui s'est comportée vis-à-vis de moi comme une grosse facho.
Christophe STAMA A la cantine, quand il y avait des salsifis, la maîtresse collait des beignes à ce garçon au pull bleu dont, hélas, je ne me rappelle pas le prénom. Elle lui collait des claques dans la tête à chaque fois qu'il avait un haut-le-coeur. Ca me révoltait mais je n'osais rien dire de peur que que je ne devienne le nouveau souffre-douleur de service.
Christophe STAMA J'avais beau avoir un coeur d'artichaut, aucune des filles de ma classe ne me faisait rêver. Désolé, Mesdames ! En revanche, j'étais tombé fou amoureux de la jeune institutrice qui nous gardait, le soir, à l'étude. C'était une très belle jeune femme aux longs cheveux noirs. Je ne l'oublierai jamais.