Benoît DESCAMPSCette photo m'impressionne pour plusieurs raisons : elle traduit bien l'ambiance extrêmement dense (j'allais dire "concentrationnaire", mais faut pas charrier !) de la cour, la poussière soulevée par tous ses pieds qui traînaient un peu leur ennui ou l'agitation sociale de ces moments de liberté; à la réflexion, l'absence totale de blouse dans le paysage et le caractère exceptionnel de ce cliché pris sur le vif (quand en général la photo n'était tolérée que pour celle de la "classe") me laissent penser qu'il s'agit d'une photo prise lors d'une fête de fin d'année ou un moment suffisamment rare pour qu'une personne (mais qui ? Carole ? Muriele?) ait introduit un appareil dans l'enceinte sacrée du collège ; je suis étonné également de voir cette photo sur la page de Carole dont je n'ai, et je suis vraiment désolé de le dire, absolument aucun souvenir et dont je suis stupéfait qu'elle m'ait reconnu, il y a quelques années maintenant comme un "camarade" de classe.
Benoît DESCAMPSJe voulais ajouter (je suis très bavard !) que l'émotion est aussi très forte à contempler ce cliché, car même un peu flou, les traits et la silhouette de Myriam (un peu dans l'ombre sur la gauche) et surtout de Nadine Dalacasa (en pleine lumière, elle, la frange sur les yeux l'obligeant à lever le menton, le tee-shirt bleu au manche courte) suscitent une foule de souvenirs drôles et tendres, forts aussi, comme cet âge de l'adolescence sait seul en produire. Merci donc à la personne qui nous fait partager cet instant fugace du passé.
Muriele DEVARD Sandrine Marsilli en 1er plan !
Benoît DESCAMPS Cette photo m'impressionne pour plusieurs raisons : elle traduit bien l'ambiance extrêmement dense (j'allais dire "concentrationnaire", mais faut pas charrier !) de la cour, la poussière soulevée par tous ses pieds qui traînaient un peu leur ennui ou l'agitation sociale de ces moments de liberté; à la réflexion, l'absence totale de blouse dans le paysage et le caractère exceptionnel de ce cliché pris sur le vif (quand en général la photo n'était tolérée que pour celle de la "classe") me laissent penser qu'il s'agit d'une photo prise lors d'une fête de fin d'année ou un moment suffisamment rare pour qu'une personne (mais qui ? Carole ? Muriele?) ait introduit un appareil dans l'enceinte sacrée du collège ; je suis étonné également de voir cette photo sur la page de Carole dont je n'ai, et je suis vraiment désolé de le dire, absolument aucun souvenir et dont je suis stupéfait qu'elle m'ait reconnu, il y a quelques années maintenant comme un "camarade" de classe.
Benoît DESCAMPS Je voulais ajouter (je suis très bavard !) que l'émotion est aussi très forte à contempler ce cliché, car même un peu flou, les traits et la silhouette de Myriam (un peu dans l'ombre sur la gauche) et surtout de Nadine Dalacasa (en pleine lumière, elle, la frange sur les yeux l'obligeant à lever le menton, le tee-shirt bleu au manche courte) suscitent une foule de souvenirs drôles et tendres, forts aussi, comme cet âge de l'adolescence sait seul en produire. Merci donc à la personne qui nous fait partager cet instant fugace du passé.