Sylviane HACHEMoi aussi je pense que c'est l'année 1964. J'ai reconnu Michèle Vaas au 2ème rang, 1ère de gauche à droite, qui est une de mes meilleures amies. Sylviane Hache.
Sylvie WOJEWODKA (LEBLOND)C'était la première année où on passait en 6ème sans examen, sur dossier. Beaucoup d'élèves étaient encore dans un schéma ancien, fin d'études, en fait elles ont poursuivi des études autrement, mais le Lycée faisait peur.
Nous vivions une période particulière, l'entrée en masse des enfants dans le second degré, avec des habitudes sociales qui enfermaient les élèves, surtout les filles,dans un cursus fin d'études.
Nous fûmes peu d'élèves à partir en 6ème et pourtant, elles furent assez nombreuses à partir plus tard à Ferdinand Buisson. Et à se qualifier.
Ce fut une période transitoire.
Quand j'arrivais en 6ème, au Lycée d'état,il y avait 6 classes de 6ème, preuve qu'explosait le baby boom !
Sylviane HACHE Moi aussi je pense que c'est l'année 1964. J'ai reconnu Michèle Vaas au 2ème rang, 1ère de gauche à droite, qui est une de mes meilleures amies. Sylviane Hache.
Sylvie WOJEWODKA (LEBLOND) C'était la première année où on passait en 6ème sans examen, sur dossier. Beaucoup d'élèves étaient encore dans un schéma ancien, fin d'études, en fait elles ont poursuivi des études autrement, mais le Lycée faisait peur.
Nous vivions une période particulière, l'entrée en masse des enfants dans le second degré, avec des habitudes sociales qui enfermaient les élèves, surtout les filles,dans un cursus fin d'études.
Nous fûmes peu d'élèves à partir en 6ème et pourtant, elles furent assez nombreuses à partir plus tard à Ferdinand Buisson. Et à se qualifier.
Ce fut une période transitoire.
Quand j'arrivais en 6ème, au Lycée d'état,il y avait 6 classes de 6ème, preuve qu'explosait le baby boom !