Jacques CAHARDBonjour Serge . Je ne me souviens pas de cet épisode de nos gardes , nous n'avons jamais eu d'ennuis avec les gradés. Je suis parti fin avril 1965 de Saarburg : libérable .
Par contre j'ai toujours eu ma bicyclette de compétition dans l'armurerie et je m'entrainais presque tous les jours , l'hiver je faisais même du home trainer dans l'armurie , J'ai même fais des compétitions en Allemagne et en France en prenant le train à Bouzonville , le dimanche avec l'autorisation de mes supérieurs . J'ai même participé à un tournoi de Basket ; ils sont même venus me chercher en jeep , alors que j'étais en manœuvre pour un match , et je n'ai pas rejoins le camp de manœuvre . Cool .
Daniel CLEMENToui, c'est bien exact. cela commençait par une inspection au niveau du poste de garde à l'entrée principale de la caserne. Puis au dépôt lui-même. Il se présentait au poste de garde avec sa Jeep. Il se présentait et déclarait avoir son ordre de mission à demeure dans le cahier de service du poste. je l'avais bien trouvé cet ordre mais immédiatement détruit. je lui ai donc refusé l'accès puisque pas d'ordre en ses mains. il a fait demi-tour rageur en me menaçant de cour martial. mais bien penaud à son retour avec cette fois un nouvel ordre de mission. je n'ai plus jamais entendu parlé de ce personnage. il était toujours en poste mais ne m'a jamais cherché. j'avais prévenu mon capitaine. Tout le monde au poste le reste de la semaine s'est bien marré. Et bien entendu cela a fait le tour de la caserne. Il s'est parait-il un peu calmé et n'a semble-t-il plus laissé cet ordre de mission permanent au poste de garde dans le cahier de service. à vérifier c'est en tout cas ce qui m'avait été dit
Edouard EDOUARD COUSIN (COUSIN)j'ai aussi monté la garde au dépot de munitions ! çà durait une semaine jour et nuit 2 heures de garde , 4 heures de repos . à une periode,il y avait eu une alerte et nous avions reçu un chargeur de munitions emballé dans du chaterton ! moi je n'ai trouvé rien de mieux que d'enlever le chaterton et de mettre le chargeur dans le fusil . la nuit,l'adjudant germain a fait sa ronde et j'ai dit halte là qui va là ! l'adjudant a pris le fusil pour controler , a ouvert la culasse et une balle a"été éjectée . je n'ai eu aucune punition mai j'ai eu peur
Jacques CAHARD Bonjour Serge . Je ne me souviens pas de cet épisode de nos gardes , nous n'avons jamais eu d'ennuis avec les gradés. Je suis parti fin avril 1965 de Saarburg : libérable .
Par contre j'ai toujours eu ma bicyclette de compétition dans l'armurerie et je m'entrainais presque tous les jours , l'hiver je faisais même du home trainer dans l'armurie , J'ai même fais des compétitions en Allemagne et en France en prenant le train à Bouzonville , le dimanche avec l'autorisation de mes supérieurs . J'ai même participé à un tournoi de Basket ; ils sont même venus me chercher en jeep , alors que j'étais en manœuvre pour un match , et je n'ai pas rejoins le camp de manœuvre . Cool .
Daniel CLEMENT oui, c'est bien exact. cela commençait par une inspection au niveau du poste de garde à l'entrée principale de la caserne. Puis au dépôt lui-même. Il se présentait au poste de garde avec sa Jeep. Il se présentait et déclarait avoir son ordre de mission à demeure dans le cahier de service du poste. je l'avais bien trouvé cet ordre mais immédiatement détruit. je lui ai donc refusé l'accès puisque pas d'ordre en ses mains. il a fait demi-tour rageur en me menaçant de cour martial. mais bien penaud à son retour avec cette fois un nouvel ordre de mission. je n'ai plus jamais entendu parlé de ce personnage. il était toujours en poste mais ne m'a jamais cherché. j'avais prévenu mon capitaine. Tout le monde au poste le reste de la semaine s'est bien marré. Et bien entendu cela a fait le tour de la caserne. Il s'est parait-il un peu calmé et n'a semble-t-il plus laissé cet ordre de mission permanent au poste de garde dans le cahier de service. à vérifier c'est en tout cas ce qui m'avait été dit
Edouard EDOUARD COUSIN (COUSIN) j'ai aussi monté la garde au dépot de munitions ! çà durait une semaine jour et nuit 2 heures de garde , 4 heures de repos . à une periode,il y avait eu une alerte et nous avions reçu un chargeur de munitions emballé dans du chaterton ! moi je n'ai trouvé rien de mieux que d'enlever le chaterton et de mettre le chargeur dans le fusil . la nuit,l'adjudant germain a fait sa ronde et j'ai dit halte là qui va là ! l'adjudant a pris le fusil pour controler , a ouvert la culasse et une balle a"été éjectée . je n'ai eu aucune punition mai j'ai eu peur