Maurice DELSARTEMon père Victor DELSARTE a travaillé aussi sur le train de 850, ainsi que sur la passerelle en tant que machiniste. A l'époque on faisait une demi-heure - une demi-heure (c'est à dire 30 mn de travail et 30 mn de repos, à cause de la pénibilité).
Marcel GUERYJ'ai bien connu Jean_Marie.
Sur le 850, j'étais au préparateur à l'arriére.
pour terminer sur le 920 ( beaucoup de souvenirs) Marcel GUERY
Maurice DELSARTEDe temps en temps, au train de 920, tout comme au 850,il arrivait que le machiniste du "finisseur" appuyait un peu trop sur la pédale des cylindres et ...... un coup de canon tonnait "à la plaque". La scie qui mesurait plus de trois mètres de diamètre volait en éclats, ainsi que les vitres des passerelles. Le grand "zoute" s'est retrouvé avec un morceau sur les genoux. On retrouvait également des morceaux à plusieurs dizaines de mètres dans le parachèvement.
Maurice DELSARTE Mon père Victor DELSARTE a travaillé aussi sur le train de 850, ainsi que sur la passerelle en tant que machiniste. A l'époque on faisait une demi-heure - une demi-heure (c'est à dire 30 mn de travail et 30 mn de repos, à cause de la pénibilité).
Marcel GUERY J'ai bien connu Jean_Marie.
Sur le 850, j'étais au préparateur à l'arriére.
pour terminer sur le 920 ( beaucoup de souvenirs) Marcel GUERY
Maurice DELSARTE De temps en temps, au train de 920, tout comme au 850,il arrivait que le machiniste du "finisseur" appuyait un peu trop sur la pédale des cylindres et ...... un coup de canon tonnait "à la plaque". La scie qui mesurait plus de trois mètres de diamètre volait en éclats, ainsi que les vitres des passerelles. Le grand "zoute" s'est retrouvé avec un morceau sur les genoux. On retrouvait également des morceaux à plusieurs dizaines de mètres dans le parachèvement.