Fransoise BELDICONon, Janine Lourdel, tu n'es pas sur cette photo de 1959 où Monique Debret, par ex. aller passer le certif avec Josette Michelet nées toutes deux en 1946. Nous avons passé le certif dans l'année scolaire 1960-1961 et avions, la plupart, 14 ans car nées en 1947. Les filles de 1946 qui ont passé le certif à 15 ans, en même temps que moi, n'ont été qu'une année avec Mme Richalet : elles venaient de chez Mle Dubois, comme ma copine Josette Ménage (7.1.47) : bien gentille Mle Dubois, mais le niveau de ses élèves (toutes) était bien faible et Mme Richalet se dépensait, corps et âme ,pour les amener au niveau de ses redoublantes (oblige ! ) Nous avons vu plus d'une fois, la tête de quelques unes (je tais leurs noms) gentiment contre le tableau et elle leur disait : "tu l'auras ton certif (bis)" j'y passerai la nuit, s'il le faut, mais tu l'auras ! " C'est vrai que certaines étaient à moins 20 en note d'orthographe.......
Quelle était l'instite ? ne serais-ce pas Mme Broisson ?
Fransoise BELDICOIl s'agit de Mme Madeleine RICHALET. Institutrice atitrée du Cours Supérieur qui préparait au Certificat d'étude que l'on ne pouvait passer que dans sa quatorzième année. Si on avait un peu d'avance, on y restait deux ans puisqu'on y arrivait dans notre douzième année, soit à la rentrée d'Octobre après avoir fait sa communion solennelle en Mai//Juin de cette meme année. A cette époque, les classes comptaient au moins 32 élèves. Au certif. de 1961, à Michelet, nous étions 35 présentées, 35 reçues (lire mes précédents commentaires) Toutes mes amitiés les plus chaleureuses à celles et ceux qui me liront.
Fransoise BELDICO Non, Janine Lourdel, tu n'es pas sur cette photo de 1959 où Monique Debret, par ex. aller passer le certif avec Josette Michelet nées toutes deux en 1946. Nous avons passé le certif dans l'année scolaire 1960-1961 et avions, la plupart, 14 ans car nées en 1947. Les filles de 1946 qui ont passé le certif à 15 ans, en même temps que moi, n'ont été qu'une année avec Mme Richalet : elles venaient de chez Mle Dubois, comme ma copine Josette Ménage (7.1.47) : bien gentille Mle Dubois, mais le niveau de ses élèves (toutes) était bien faible et Mme Richalet se dépensait, corps et âme ,pour les amener au niveau de ses redoublantes (oblige ! ) Nous avons vu plus d'une fois, la tête de quelques unes (je tais leurs noms) gentiment contre le tableau et elle leur disait : "tu l'auras ton certif (bis)" j'y passerai la nuit, s'il le faut, mais tu l'auras ! " C'est vrai que certaines étaient à moins 20 en note d'orthographe.......
Quelle était l'instite ? ne serais-ce pas Mme Broisson ?
Fransoise BELDICO Il s'agit de Mme Madeleine RICHALET. Institutrice atitrée du Cours Supérieur qui préparait au Certificat d'étude que l'on ne pouvait passer que dans sa quatorzième année. Si on avait un peu d'avance, on y restait deux ans puisqu'on y arrivait dans notre douzième année, soit à la rentrée d'Octobre après avoir fait sa communion solennelle en Mai//Juin de cette meme année. A cette époque, les classes comptaient au moins 32 élèves. Au certif. de 1961, à Michelet, nous étions 35 présentées, 35 reçues (lire mes précédents commentaires) Toutes mes amitiés les plus chaleureuses à celles et ceux qui me liront.