Jean-Claude SAMOULLIERje ne suis pas sur cette photo car je suis de la 64/2C. J' ai du faire les 100 kms en avril 65. J'étais en stage de télétypiste avec l'adjudant/chef Hervé.Je venais de Sète ou je suis retourné après le stage comme caporal/chef.
Cordialement
Louis PAULIKJe suis de la 63 1/b, j'ai fait la nomado en juin 1963, en étant dans la 4ième cie. Nous avons eu de la chance, car nous bivouaquons la journée, et marchions la nuit. D'autres cie, faisaient des combats de jour, et marchaient la nuit. Je me rappelle d'un café dans la campagne où on buvait le coup très sympa, jusqu'à un capitaine qui est venu nous foutre dehors.
Même si parfois c'était chiant, belle époque, que les jeunes de maintenant- mon petit fils par exemple- ne connaîtra pas.
Transmettre c'est combattre.
Idem pour la classe 632c nous marchions la nuit et bivouaquons le jour. Je me rappelle des bolées de cidre offertes par les paysans. Marcher dans le noir un casque lourd dans les mains et le quart de café posé sur une pastille d'alcool a brûler. Non les jeunes ne connaîtrons pas cela, c?était pourtant une bonne école de la vie et puis au moins j'ai appris à pianoter des dix doigts sur un clavier, pratique aujourd'hui avec les PC.
Jean-Claude SAMOULLIER je ne suis pas sur cette photo car je suis de la 64/2C. J' ai du faire les 100 kms en avril 65. J'étais en stage de télétypiste avec l'adjudant/chef Hervé.Je venais de Sète ou je suis retourné après le stage comme caporal/chef.
Cordialement
Louis PAULIK Je suis de la 63 1/b, j'ai fait la nomado en juin 1963, en étant dans la 4ième cie. Nous avons eu de la chance, car nous bivouaquons la journée, et marchions la nuit. D'autres cie, faisaient des combats de jour, et marchaient la nuit. Je me rappelle d'un café dans la campagne où on buvait le coup très sympa, jusqu'à un capitaine qui est venu nous foutre dehors.
Même si parfois c'était chiant, belle époque, que les jeunes de maintenant- mon petit fils par exemple- ne connaîtra pas.
Transmettre c'est combattre.
Idem pour la classe 632c nous marchions la nuit et bivouaquons le jour. Je me rappelle des bolées de cidre offertes par les paysans. Marcher dans le noir un casque lourd dans les mains et le quart de café posé sur une pastille d'alcool a brûler. Non les jeunes ne connaîtrons pas cela, c?était pourtant une bonne école de la vie et puis au moins j'ai appris à pianoter des dix doigts sur un clavier, pratique aujourd'hui avec les PC.