Sylvie LALLEMENTQue de souvenirs épiques et fantasmagoriques, ce fut un lieu de vacances unique et magique qui a nourri mon imaginaire, d'histoires peuplés de chauves-souris, de veillées sur le donjon, de meurtrières, de pont-levis et de scorpions que nous dénichions sous les pierres.
Dominique JOVYJe retrouve mon oncle, le directeur (Mr Jean Gauthier, tout à droite sur la photo) qui nous chantait parfois "Le cornemuseux", dans le car conduit par Félix qui nous emmenait à la mer à Argelès deux fois par semaine. Un sacré répertoire de chansons et de souvenirs : comme Sylvie, les veillées (parfois avec un berlingot !), dans la grande salle de jeux, ou sur une des terrasse, le fort si mystérieux , les dortoirs aux fleurs de Lys.Toutes ces balades: la madone, la petite et grande batterie, la maison des contrebandiers , le raidillon pour descendre/monter d' Amélie, la forêt de pins d'Argelès ... .Pas assez de place pour évoquer ici tous ces souvenirs de deux mois par an, sur plusieurs années de 1962 à 1970...
Merci Félix, merci Félix. Yo té dare, té daré un nacossa ...
Sylvie LALLEMENT Que de souvenirs épiques et fantasmagoriques, ce fut un lieu de vacances unique et magique qui a nourri mon imaginaire, d'histoires peuplés de chauves-souris, de veillées sur le donjon, de meurtrières, de pont-levis et de scorpions que nous dénichions sous les pierres.
Dominique JOVY Je retrouve mon oncle, le directeur (Mr Jean Gauthier, tout à droite sur la photo) qui nous chantait parfois "Le cornemuseux", dans le car conduit par Félix qui nous emmenait à la mer à Argelès deux fois par semaine. Un sacré répertoire de chansons et de souvenirs : comme Sylvie, les veillées (parfois avec un berlingot !), dans la grande salle de jeux, ou sur une des terrasse, le fort si mystérieux , les dortoirs aux fleurs de Lys.Toutes ces balades: la madone, la petite et grande batterie, la maison des contrebandiers , le raidillon pour descendre/monter d' Amélie, la forêt de pins d'Argelès ... .Pas assez de place pour évoquer ici tous ces souvenirs de deux mois par an, sur plusieurs années de 1962 à 1970...
Merci Félix, merci Félix. Yo té dare, té daré un nacossa ...