Je ne figure pas sur cette photo de classe, car je suis sorti en 68. Mais je reconnais le terrible Monsieur DAMICO, prof de math qui nous faisait revenir les samedis après-midi pour finir de résoudre ses problèmes auxquels on ne comprenait rien. Il ne comprenait pas pourquoi alors que c'était évident pour lui. 1968 a été fructueux dans la libération de la parole, et nous a permis de demander à cet excellent professeur par ailleurs, cela, sans contestation possible, d'adoucir sa pédagogie par plus d'exemples et moins d'épreuves.
Il faut dire que le niveau d'exigence du lycée Jean Moulin à cette époque ( Lauréat de réussite au bac dans la meilleure académie de France ) était à des années lumières du niveau actuel.... On savait ce que faire des efforts voulait dire. Et j'en remercie encore aujourd'hui chaque jour, cette merveilleuse institution, et cette formidable équipe de professeur. Pourtant, j'en ai bavé des ronds de chapeau !
Je ne figure pas sur cette photo de classe, car je suis sorti en 68. Mais je reconnais le terrible Monsieur DAMICO, prof de math qui nous faisait revenir les samedis après-midi pour finir de résoudre ses problèmes auxquels on ne comprenait rien. Il ne comprenait pas pourquoi alors que c'était évident pour lui. 1968 a été fructueux dans la libération de la parole, et nous a permis de demander à cet excellent professeur par ailleurs, cela, sans contestation possible, d'adoucir sa pédagogie par plus d'exemples et moins d'épreuves.
Il faut dire que le niveau d'exigence du lycée Jean Moulin à cette époque ( Lauréat de réussite au bac dans la meilleure académie de France ) était à des années lumières du niveau actuel.... On savait ce que faire des efforts voulait dire. Et j'en remercie encore aujourd'hui chaque jour, cette merveilleuse institution, et cette formidable équipe de professeur. Pourtant, j'en ai bavé des ronds de chapeau !