Bigitte BÉCHIR (BECHIR)C'était à Chamonix, il y faisait froid. Nous résidions dans un grand chalet en bois qui s'appelait les Nantillons. Pour skier, nous avions du matériel rudimentaire; des chaussures en cuir très lourdes et des skis vétustes qui dépassaient notre tête. Les fixations pour tenir les chaussures étaient de simples ressorts. Aussi, je me souviens des promenades à pieds. Nos enseignantes, nous avertissaient des dangers de nous écarter du groupe au risque de nous enfoncer dans les congers, situer de chaque côté de la route. Elles nous donnaient également pour consignes, de ne pas crier, mais sous les grands sapins chargés de neige, nous ne résistions pas...
Que de bons souvenirs!
Bigitte BÉCHIR (BECHIR) C'était à Chamonix, il y faisait froid. Nous résidions dans un grand chalet en bois qui s'appelait les Nantillons. Pour skier, nous avions du matériel rudimentaire; des chaussures en cuir très lourdes et des skis vétustes qui dépassaient notre tête. Les fixations pour tenir les chaussures étaient de simples ressorts. Aussi, je me souviens des promenades à pieds. Nos enseignantes, nous avertissaient des dangers de nous écarter du groupe au risque de nous enfoncer dans les congers, situer de chaque côté de la route. Elles nous donnaient également pour consignes, de ne pas crier, mais sous les grands sapins chargés de neige, nous ne résistions pas...
Que de bons souvenirs!