Olivier GAURIN

Parcours scolaire

• INSTITUTION DE LA PROVIDENCE

   -  Paris

  Dommage, c'était pas encore mixte ! On s'est bien tapé dessus aux récré je me souviens... Ha ! Ha ! Ha ! J'y ai même passé mon certificat d'étude, un des derniers passages qui ai existé.

  1967 - 1970

• Collège Moulin Des Prés

   -  Paris

  Dès la sixième, une confrontation directe avec un système éducatif périmé et absurde. C'était un collège de garçons, un principal qu'on appelait "Adolphe" et des profs vraiment très spéciaux. Seul bon souvenir : un prof d'histoire-géo avec qui je me suis battu presqu'une année durant et qui a réussi à me faire aimer sa matière. Et puis un prof de math aveugle : Monsieur Peulètre, fantastique !

  1970 - 1973

• Collège Pailleron

   -  Paris

  4° et 3° au CES si je me souviens bien : parmi les plus belles années de ma jeunesse : une classe formidable, des maîtres dignes de ce nom, et un vrai tremplin pour la vie.

  1973 - 1975

• Ces Edouard Pailleron 19°

   -  Paris

  Le proviseur avait fait sortir mes parents, m'avait pris à part et dit à la rentrée : "On t'essaie 1 mois, si c'est pas concluant, t'es viré, ça te va comme marché ?". J'ai dit OK... et ça a marché !

  1973 - 1975

• Lycée Technologique Régional Jacquard

   -  Paris 1975 - 1978

• Lycée Technologique Régional Jacquard

   -  Paris

  On s'était battu contre la loi Debré. Grèves, manif et guerre des boutons tricolores avec les fafs, les CRS, tout en étudiant les maths et la technologie : Quelle ambiance !

  1975 - 1978

• Lycée Technologique Régional Jacquard

   -  Paris 1975 - 1978

• Lycée Jacquard

   -  Paris 1975 - 1978

• Lycée Jacquart

   -  Paris

  Filière bac E, puis début de BTS (études ajournées). De vrais années d'amitiés aussi. On en a bavé, c'est vrai : mais quel panache que la pluridisciplinarité de ces études-là !

  1975 - 1978

• Lycée Jacquard

   -  Paris 1975 - 1978

• PARIS VIII

   -  Saint denis

  Elève de l'institut polytechnique de philosophie ou j'ai passé ma maîtrise, j'y ai appris qu'on étatit pas grand chose, mais que ce pas grand chose était immense. Et Deleuze était là, sublime, intarissable....

  1983 - 1986