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Parcours
Parcours scolaire
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Lycée Gabriel Fauré
- Paris 1964 - 1970 -
Lycée Adolphe Cherioux
- Vitry sur seine 1970 - 1972 -
CUESJ
- StrasbourgCentre universitaire d'enseignement supérieur du journalisme. Fac de Sciences sociales.
1974 - 1976
A propos
Général
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Prénom Nom :
Philip JUJU (JUILLARD) -
Vit à :
LES MOUTIERS-EN-RETZ, France
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Né le :
13 mars 1954 (71 ans)
Ma vie aujourd'hui
Description
J'ai été journaliste pendant 35 ans, en 2015 j'ai pris ma retraite. J'ai fait un peu de peinture, mais aujourd'hui je n'en ai plus l'envie . Alors je lis. Beaucoup de littérature .
Je vis près de la mer.
Profession :
Retraité
Situation familiale :
marié(e)
Enfants :
3
Mes goûts et passions
Sports
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Autres
Voyages
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Philip JUJU (JUILLARD) a ajouté Lycée Gabriel Fauré à son parcours scolaire
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Philip JUJU (JUILLARD) je suis resté six ans dans ce lycée. J'en garde un bon souvenir. Je me suis bien amusé même si je ne le montrais pas souvent et même si mes études en ont pâti. Les filles étaient jolies, les mecs sympas. Oui, excellent souvenir.
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Philip JUJU (JUILLARD) Au lycée Gabriel Fauré, la fin de mon année de 3ème a coincidé avec mai 68. Quel bins ! Je me rappelle Gisèle Blanc qui sortait avec son maoiste, les manifs (où je n'allais jamais) et les batailles d'affiches à l'intérieur du lycée (sous le préau). Un type de ma classe - je crois qu'il s'appelait Etienne Favre, a conçu l'idée (était-ce lui le concepteur je ne sais pas ) d'un combat entre "le Gras" et le "Maigre" à coups d'affiches sous le préau. C'était très drôle - en tout cas assez absurde pour nous faire rire car le Favre en question était très sérieux quand il parlait des motivations des adeptes du gras et du maigre. Il fallait choisir son camp !! J'aimais beaucoup cette atmosphère ridicule qui nous avait permis cette année-là de mieux faire passer la pilule des cours insipides. Ceux qui rendent fainéant.
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Philip JUJU (JUILLARD) a ajouté Lycée Adolphe Cherioux à son parcours scolaire
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Philip JUJU (JUILLARD) Quel lycée incroyable ! Derrière notre salle de classe, en première et terminale, nous nous faufilions dans une minuscule pièce où se m^laient des vieux tabouret et des pièces de tissus poussiéreux. Au milieu de tout ça, il y avait un piano droit sur lequel mes copains Alex Armien et Dominique Gonsard inventaient des mélodies improvisées. Je les regardais faire - envieux et admiratif car je ne savais pas jouer - et je chantais de temps en temps avec eux. Tous les midis après la cantine nous étions fourrés dans ce cagibi. Et pendant une heure, nous nous évadions loin, très loin.
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