Philippe DUDANT

Description

Paris, le vendredi 05/09/2003.
" A Jean et Françoise".

je me suis marié en 1984, tu étais là d'ailleurs Jean-Michel(j'ai toujours ton livre sur Mucha), mais je n'ai pas oublié non plus Philippe dont sa femme a accouché ma belle-soeur( mon fils Jean, 8 ans, s'exerce au fleuret et je me souviens de tes cours de Maths, j'espère que tu vas bien) ; Olivier, j'ai encore ton dictionnaire des Jeux, la dernière fois que je t'ai vu, c'était aux trois jours à Rennes ; Vincent...le générique de Télérama...ha, ha !
J'ai appris que beaucoup d'abbés nous avaient quittés,y compris l'abbé Beauregard que j'ai revu au baptême de mon filleul; et toi, Vincent qui jouait au Hand-ball, es-tu Kiné ?
Stéphane, toi qui t'étais fait gronder par Mme Cornillon, qui comptait ainsi m'impressionner pour que mieux me faire comprendre qu'il est important d'être ponctuel, j'ai lu ton interview dans le journal "Rebondir", j'ai eu tort de ne pas t'emboîter le pas, as tu fini par élire un domicile fixe après ta période africaine ?
Christophe(2"s"), je vous passe le bonjour, je revois de temps en temps Patrice,
Paris, Bordeaux, Lyon, Quimper dessinent une toile tentaculaire qui traverse aujourd'hui peut être les océans.
A tous, je vous embrasse chèrement, et si vous en avez l'occasion, passez mes amitiés aux abbés Lemoine, Drouault, qui sont peut être les derniers à demeurer encore parmi nous, ainsi qu'à M. Barbier, notre surveillant.
j'ai