Thierry COUTUREEn effet, on le surnommait "Bison" - probablement à cause de l'odeur musquée qu'il laissait derrière lui, l'usage du déodorant devant lui être interdit par sa religion !
Je me souviens d'un homme certes bougon, colérique mais capable de gentillesse pour qui osait percer sa carapace de dureté. Quand je lui avais appris que mes parents déménageaient pour le Val-d'Oise, il avait eu à mon égard des paroles qui m'avaient touché. Et j'ai regretté Saint-Joseph d'Asnières...
Je me demande ce qu'il est devenu. S'il est toujours de ce monde, il doit vivre dans une résidence de retraite.
Quant à l'homme à droite, j'ai plutôt l'impression que c'est Monsieur Périsse, un professeur de Français qu'a eu mon frère.
François GALLOISnon Périsse était le prof de français-latin de 6ème. Le prof à droite est Léziak, professeur d'anglais
Thierry COUTUREVous êtes mieux à même que moi d'en juger. Je n'ai fréquenté Saint-Joseph qu'en classe de 5e, après ma 6e à Montalembert - dont je garde un souvenir exécrable. J'ai nettement préféré "Saint-Jo". Je me souviens d'un projet de rapprochement entre les deux écoles (ESCCA - Ensemble scolaire catholique Courbevoie-Asnières), dont j'ai entendu dire plus tard qu'il aurait capoté.
J'ai lu hier soir les commentaires d'anciens de Saint-Joseph. Je ne comprendrai jamais comment une école chrétienne utilisait les services (auxquels je peux retrancher le R !) d'hommes dont la charité était manifestement le cadet des soucis. Je me souviens d'une terreur à Montalembert, l'Abbé Daffy. Le mot qui le résume dans mes souvenirs est méchanceté. Ce n'est pas ainsi qu'on éduque des enfants.
Thierry COUTURE En effet, on le surnommait "Bison" - probablement à cause de l'odeur musquée qu'il laissait derrière lui, l'usage du déodorant devant lui être interdit par sa religion !
Je me souviens d'un homme certes bougon, colérique mais capable de gentillesse pour qui osait percer sa carapace de dureté. Quand je lui avais appris que mes parents déménageaient pour le Val-d'Oise, il avait eu à mon égard des paroles qui m'avaient touché. Et j'ai regretté Saint-Joseph d'Asnières...
Je me demande ce qu'il est devenu. S'il est toujours de ce monde, il doit vivre dans une résidence de retraite.
Quant à l'homme à droite, j'ai plutôt l'impression que c'est Monsieur Périsse, un professeur de Français qu'a eu mon frère.
François GALLOIS non Périsse était le prof de français-latin de 6ème. Le prof à droite est Léziak, professeur d'anglais
Thierry COUTURE Vous êtes mieux à même que moi d'en juger. Je n'ai fréquenté Saint-Joseph qu'en classe de 5e, après ma 6e à Montalembert - dont je garde un souvenir exécrable. J'ai nettement préféré "Saint-Jo". Je me souviens d'un projet de rapprochement entre les deux écoles (ESCCA - Ensemble scolaire catholique Courbevoie-Asnières), dont j'ai entendu dire plus tard qu'il aurait capoté.
J'ai lu hier soir les commentaires d'anciens de Saint-Joseph. Je ne comprendrai jamais comment une école chrétienne utilisait les services (auxquels je peux retrancher le R !) d'hommes dont la charité était manifestement le cadet des soucis. Je me souviens d'une terreur à Montalembert, l'Abbé Daffy. Le mot qui le résume dans mes souvenirs est méchanceté. Ce n'est pas ainsi qu'on éduque des enfants.